re saisis toi

1 novembre, 2014

8 millimètres de chanvre ..pas indien mais japonais, épais doux blanc comme neige….

langue déliée, se tue méchante au laser rouge

attachée pour s’envoler, s’aliéner au bleu du ciel

bouche béante, yeux fermés

comme un voilier glissant sous la mer, les cordages arimés, très serrés,

à vos ordres …beau commandant

mon capitaine de vagues offenses de son corps

dans des mers offertes et tourmentées

dans les tempêtes et les sables chauds dans l’eau profonde de nos troubles de nos désirs cernés d’eau salées, mélangées, larmes et sueurs,

stupeur stupre et frayeurs, gouttes amères mais bien accrochée sur terre ferme

8mm

17 novembre, 2008

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8millimetres de chanvre ..pas indien mais japonais,

épais doux blanc comme neige….

langue déliée, s est tue méchante

au laser rouge

attachée pour m envoler,

s’aliéner au bleu du ciel

bouche béante

yeux fermés

comme un voilier glissant sous la mer

les cordages arimés

à vos ordres …b ..eau commandant  

im1.bmp

flemmedeflammedefemme

13 novembre, 2008

geishas.bmp29288244p.jpg

flemme de flamme de femme en flammes puis en flemme

femme et flamme flemme qui fane…

pleine lune diaphane

pure flemme qui dure

flemme de femme

pure flamme

 

sous… mise….M

9 novembre, 2008

tn21224083223.jpgMISER SUR MES DESSOUS

je sous mise des tent a culs

suis tête à claques

à ses bottes

lécher

le

M

mmmm

tn21198055283.jpg

enchainée cupide et cupide don

8 novembre, 2008

o1vunmjq.jpgtn21202059927.jpgTu as vite vu que je te cherchais encore ….

je t ai cru…. tout cru….

dans mon corps et mes nuits 
Est-ce possible que tu n’aies pas compris

à quel point, désespérément

 je te désirais ?

mais oui….TU SAIS

Tu sais, depuis …..

je maudis Cupidon de cette flèche perdue partie retenue tue revenue …
Tu ne sais pas cette douleur sourde
qui m’accompagne et plombe ma vue
 
D’accord, ton cœur était ailleurs,

d’accord le chemin est railleur,

surtout le soir de pleine lune de plein air
Et pourtant tes yeux sont si clairs…
avais-je vraiment mérité tes mots si noirs ?
 
J’aimerais seulement que tu devines ce que je suis….
Il te reste des choses à apprendre, peut être même la pluie…
 
Sur ma blessure, honteusement

j’aimerais que tu réalises ce sel que tu as jeté en surplus
J’aimerais que…j’aimerais que……

…je ne sais plus….. 
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à adès…

7 novembre, 2008

tn211756750621.jpgelle est morte au combat

c un jeu,

ni pute ni

moins,

elle rêve elle rêve….

mais la réalité lui a sauté à la gueulim.bmpe

son visage recouvert d un laiteux blanc

Sa gêne restée en dedans 

 

soayam

2 novembre, 2008

bandage1.jpg

soayam

ressent la peur et sa pudeur…. elle s en débarrasse comme des ses sous vetements noirs et soyeux,  nue, soudain, saisie par la main, elle le suit, puis il commence un baiser ou deux qui la trompent, la rassurent…. elle lui dit oui, les yeux baissés, car elle ne sait pas encore le regarder

lui, se montre sûr, dur, rôde, tourne, autour d elle, la maitrise avec force et une douceur rude , soudain pprise par la taille, l assied sur la table rase, lui écarte les jambes, et l accroche de son regard d acier,

un brasero l envahit ….il lui souhaite la bienvenue dans son monde de vice et de calme rituel ,

il est résolu, il cherche à la calmer,

ses cordes sont bien serrées, elle est déjà ruisselante……

pendante, les bras croisés dans son dos, le ventre collé à la table, les seins plaqués contre le bois, froid , dos courbé, cambrée, visage caché, son corps baillonné, sans un soufle, elle l observe, ecoute chaque bruit, se raccroche à lui, chaque son, chaque geste la tenaille,

malicieuse et enfermée, elle a résisté un jour, deux jours, elle a essayé la fuite dans le désordre, mais il excelle dans la chasse aux frayeurs

on ne peut le contredire

il joue assez souvent,

rien ne l étonne,

il arrive,

tout est different, ce rendez vous elle le cherche, le redoute, s y accroche elle veut le vivre mais elle tremble et veut s en aller, respirer, elle ne peut, déshabillée…

tn21201378823.jpgelle reste prisonnière de ses pensées sous un bandeau et il la porte liée, coulante et coulée, il va , vient, ferme et décidé, fort, dans ses entraves, coupant son souffle et ses os, son sein glacé, son membre dressé,

soayam se dit … vas y..

sa douleur est telle que elle ne l imaginait, entre merci et cri étouffé, interdit, tendue, comme une flamme, chaque claque comme une gorgée de cognac chauffe ses reins, ses seins ses flancs à basculer,tn21202558078.jpg

elle ne peut marcher ni parler

ne voit rien du tout, oublie tout

coupée en deux elle subit seule dans ce silence , il lui fouille l intérieur, elle ne sait plus où elle est, stone, elle se lache dans un cri rapide et furtif, elle suinte et ses entrailles luisent, et lui tres suavement lui dit …pas de violence ce soir, il lui touche la peau, de ses doigts, le bout de ses seins, la demoiselle croit le meilleur mais non…. il la chauffe la penetre de son mâle heure, pas trop vite, il recule, se promène , elle l entend, le sent tout aux alentours s approprie d engins, d  elle, penché, il la prend, la sonde de ses coups, elle se sent monter de désirs montant intensément, et aussi de craintes, étendue livrée courbée, reflets de son corps, comblé comme endormi,

il la tient l ecartelle et le plaisir surgit, vient de sa force à lui, et la surprend de son souffle, de sa bouche, de sa volonté qui la pénètre et la coupe en miettes elle ne bouge plus, absente, délivrée, plus de demande, plus d attente, livrée au mâle dominant, intellectuel et bandant, phantasmant,  sous toutes ses formes  il enfonce toutes sortes d objets, profondément, loin, très loin, elle voudrait s en aller loin tres loin, il la retient la ramène au désir, nouée comme une chienne, elle qui se prenait pour une reine, pleine de sortilèges, se trouve souillée trouée, rouée, soayame prend son pied, prise, avec une extreme force, elle n a plus de mémoire, chose étrange, de l objet de ses peurs, emprisonnée, elle est satisfaite comme jamais, comment pourrait elle lui en vouloir, pour la première fois de sa vie, maitre de l ordre, sait faire plaisir , elle etait là à regarder ses bleus, se faire peur, divine douleur, honni soit qui mal y panse….

elle ne connaissait pas les hommes

bandage.jpg

elle veut toujours aller loin plus loin…son nouveau jouet tout rouge et noir

avec lui l impression  d envie  …

 

 

cap , pas cap?

15 octobre, 2008

tn21187509512.gifle petit jeu reprend …comme le manège enchanté des

jeux d enfants, faits de jouets noirs, claquants,

de moments suspendus, de comptes à rebours, de fouets et de noeuds tordus

DE NOEUDS TORDUS

10?

6?

décisifs

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délier

des cordes et des liens serrés, de corps tendu griffé

 jeu delicieux charmant furieux, saignant

sourd et muet

passionnant

accrochée au mur, delivre moi mon dieu….Séance tenante ….tn21198686739.jpgcap ou pas cap?

quand j etais petite j aimais jouer et me faire accrocher tres haut, et puis….très curieux…

 

IL ME RASE

6 octobre, 2008

mesdiscussions977907.jpgRASE MOI

RASE ERASERHEAD

IL ME RASE DE PRES DE LOIN

RASE MA TETE MA TOISON

MA RAISON D ETRE

RASE LES MURS SOUS LES FENETRES

RASE A SANG RASE ERASE ET LAVE SANS ARRET

LAVE MOI

LAVE MON SANG

LAVE DEDANSmesdiscussions1733231.jpgAUSSI

EFFACE SANS TRACE PLUS RIEN

LA PUDEUR MON EFFROI

LA PEUR  LAVE LA PEAU

A L EAU BRULANTE

ET CHAUDE tn21205766624.jpgDE MES LARMES CLEAN EX

des cris

13 juin, 2008

imagesind.jpgj entends des cris depuis toujours.

je sens les émois à perdre haleine.. OUVERTE A TOUS

des pleines peines ébènes

des ondes ki me sondent

eclairez moi….sombrez moi de ce spleen au gout sourd

 des cris afond7

pas sereine

pas sirène

ni reine ni ivoire lasse crasse

ce gris d’ homme ce minim’ homme me casse

passe ce coeur spleen et down ….

donne moi son doux poul son saoul soul

lui revenir  reviendra …te visiter  visitera…tes pensées et alors .

ris CRIS…

au s’ cours …ecris ces maux dits ..

every lie prie

 i need him I feel good god

délies moi de ses emois  helasse moi 

je stresse des stress

je ne vis plus

  ta petite brise

MaCulotte

par surprise une petite brise biaise

prise et envolée se brise sur moi sur sa peau sa fraicheur

éperdue

ment

égarée déloyale imaginaire des journées entières voyageuse

souterraine et rêveuse puisque rien rien rien ne dure

vrai…

ment s envole le temps des amours mortes

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